Un stylo
Un page blanche
Obstinément blanche !!!!
Rien ne vient
Un cerveau vide de mot
Que faire ?
Qu’écrire lorsque rien ne passe par la tête?…..
Alors on attend
On fixe cette feuille blanche
Pensant qu’elle va nous apporter
Par ce dur regard dardé sur elle
L’inspiration !
On fixe le vide
Et le vide ne remplit pas
Cette page
Qui reste blanche
Obstinément blanche !!!
Eléa, le 18 Février 2012
Copyright 2012
Eleacemoi 
Peut-être alors se promener sur les mots
même un dico peut faire l’affaire…
(ou ici!! PUB! lol!! Index: http://pagesperso-orange.fr/coolcookie/poesie/index.html)
Drôle de choses que l’Inspiration 😉
Bonne continuation Poétique 🙂
Ch Simple Passeur de Mots
🙂
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Blog de Photos: http://arbreaphotos.wordpress.com
Merci de ton passage chez moi, de ton commentaire
Et à bientôt, chez toi, chez moi 🙂
Bises
là tu n’as pas rendu copie blanche en tout cas
c’est bien dit tout ça, tu as su mettre
à profit ton vide d’écriture pour en faire un bel écrit…
En Panne…
Panne sèche
D’encre et de mots
En cale sèche
Et rester le blanc bateau.
Larmes séchées
À dessécher la rivière
La verve asséchée
A assoiffé mon gosier.
Panne sèche
D’encre et de mots
J’suis resté tête-bêche
Avec mon pauvre double,
À la bonne fraiche.
Navire, en cale sèche
Je n’ai pu suivre sa houaiche
En rade, j’suis resté planté
Las, là contre un piquet.
Larmes séchées
À quai, elles sont restées
L’onde salée n’viendra pas
Mouiller les joues rosées.
En verve asséchée
Vite que j’me trouve un p’tit troquet
Je m’suis rien mis sous la dent
Dingue et sans mot
Qu’alors j’ai terminé
Par un bastringue noctambulé.
Panne sèche
D’encre et de mots
En cale sèche
Et rester le blanc bateau…
Paul Andrews
Écrit le 20/02/2012.
Gros gros bisous pour toi Eléa/Irène
Gros bisous aussi pour toi, mon p’tit Breton
Bien aise de t’avoir à mon tour inspiré afin que ta page ne reste pas vierge de mot…..
J’en avais écris un autre sur ce sujet de la panne de mot, je te le mettrais ici prochainement
Bisousssss
Il n’y a rien a faire dans ces cas là.Le cerveau est de nature tétu et il n’ouvre pas sa porte à qui veut l’enfoncer. Il faut le traiter comme un enfant, attendre qu’il ait envie, attendre le désir. C’est la peur de perdre à tout jamais l’inspiration qui nous fait nous lamenter devant la feuille blanche mais tu ne la perdras pas plus que tu ne perdras ta main. Meme si tu oublies ta main elle ne part pas. Ton inspiration c’est pareil. Laisse la reposer, elle reviendra.
Merci Samson, de ton passage chez moi et de tes commentaire
Au plaisir d’une prochaine rencontre de mots 😉
voilà qui est joliment dit j’trouve !